À la manière des dictons, revenant chaque année, à la même période, ceux qu’on connait tous : « Février trop doux, promet printemps en courroux. », « Autant de brouillards en février, autant de gelées pour mai. », « En février, il y a toujours un jour où les chiens passent à l’ombre ! »…, on a l’impression que rien ne change, que tout recommence sans cesse, avec peu ou prou d’évolution.
Il y a presque un an un virus est apparu. Des hommes en blanc ont dit quoi faire à des hommes en costumes trop propres pour être honnêtes et eux se sont empressés de nous dire quoi faire, comment, avec autorité et sans vraiment de pourquoi.
Aujourd’hui, notre monde est à l’arrêt, condamné à écouter et obéir aux costumes trop propres et trop blancs pour espérer entrevoir un avenir musical, culturel et social.