Retour sur la programmation 2018 du HELLFEST, et des noms à l’affiche qui nous paraissent excitants et qui nous feront certainement vibrer les 22, 23 et 24 juin prochains. Car il est parfois difficile de faire son choix, nous allons essayer de mettre en avant les artistes un peu à part.
Lancé par une bande de copains originaire de Tours, ce projet de death metal pagan a atteint aujourd’hui une place enviable sur la scène français. DRAKWALD est un projet death folk qui a commencé à se concrétiser en 2010 après quelques changements de line up. Ils ont sorti une démo en 2012 « Forgotten Lands » puis un premier album en 2014 « Resist Fatality ». puis en 2016 une deuxième intitulé « Riven Earth ». Après les avoir vus partager la scène avec des groupes de statut international comme ENSIFERUM, nous avons eu envie de revenir avec Max le batteur de Drakwald sur des anecdotes qui ont marqué leurs parcours.
Max : « J’ai tendance à retenir que les trucs pas cool qui nous sont arrivés (sourire).
Allez je me lance :
– Nos merdes sur la route : entre la fois où une roue de la remorque crève de nuit sur l’autoroute au retour d’un concert. Plus la fois où la remorque se décroche et percute un véhicule (heureusement à l’arrêt!). Plus de peur que de mal mais par acquis de conscience on s’en est séparé (rire).
– Les petit échec sociaux : la fois où on s’est dit qu’offrir une bouteille de vin à un groupe très connu de notre style lors de notre tournée commune en France ça pouvait être cool, sauf qu’en fait les mecs en avaient rien à foutre. A moitié à poil, ils nous ont regardé en mode « OK et ton vin il est bon au moins ? »
La fois où on se prend la tête sur le plateau avec un mec car le groupe d’avant avait craché partout sur la scène pour soit-disant « faire le show ». On en avait rien à foutre, on voulait juste pas baigner dans la bave et faire le show nous aussi dans de bonnes conditions. »
– Nos merdes sur la route : entre la fois où une roue de la remorque crève de nuit sur l’autoroute au retour d’un concert. Plus la fois où la remorque se décroche et percute un véhicule (heureusement à l’arrêt!). Plus de peur que de mal mais par acquis de conscience on s’en est séparé (rire).
– Les petit échec sociaux : la fois où on s’est dit qu’offrir une bouteille de vin à un groupe très connu de notre style lors de notre tournée commune en France ça pouvait être cool, sauf qu’en fait les mecs en avaient rien à foutre. A moitié à poil, ils nous ont regardé en mode « OK et ton vin il est bon au moins ? »
La fois où on se prend la tête sur le plateau avec un mec car le groupe d’avant avait craché partout sur la scène pour soit-disant « faire le show ». On en avait rien à foutre, on voulait juste pas baigner dans la bave et faire le show nous aussi dans de bonnes conditions. »
Vont-ils mettre tout le monde d’accord sous l’ALTAR le vendredi 22 juin à 10h30?
